Au début du suivi, au milieu des années 90, les effectifs annuels d’anguilles dépassaient les 20 000 individus (27 500 en 1994), par la suite, la population a subi une régression importante, les bons chiffres de 2003 et 2004 ne traduisant qu’une amélioration des conditions de franchissement de la rampe. Aujourd’hui la tendance générale semble se porter sur une stabilisation à des niveaux d’effectifs faibles, insuffisants pour assurer le renouvellement de la population, dont la fraction dévalante est essentiellement composée de gros individus.